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| Sujet: Le come-back du prédateur sexuel [FINI] Sam 26 Sep 2015 - 23:10 | |
| Fiche de présentation Warren Natsu Blake Informations générales. Âge: Vingt bougies Année d'études: Quatrième Date de naissance: 2000 Pays d'origine: Zamias Pouvoir magique: La suggestion Ton job si t'en as un: Sérieusement, vous croyez vraiment que Warren va prendre la peine de se trouver un job ? ... Nan. Quand il a besoin de fric, il demande à une meuf qui passe par là, ça va beaucoup plus vite. Somme d'argent que tu emmènes avec toi: 100 Joyaux
Un peu sur toi Ton prénom: Pedobear Décris-toi en quelques lignes, on veut tout savoir sur toi ! 8D : J'suis Pedobear et j'aime les petits enfants Où as-tu découvert le forum ? Grâce à la recommandation de mon ami Pedo-Panda Code de validation (Se trouve sur le règlement du forum) : Cupcake, bref, tu vois de quoi je parle. (Plus sérieusement, c'est le double compte de la fondatrice. xD)
Physique et caractère Physique. Quand une fille voit Warren, il existe plusieurs réactions différentes. La première est de le regarder de la tête aux pieds et de se mettre à rougir, en détournant la tête pour cacher ses joues. La seconde est de s’approcher de lui, et de le draguer, en espérant avoir une chance. La dernière est de le regarder, de rester là la bouche grande ouverte en hurlant « OH.MY.GOD. JE VIENS DE VOIR UN DIEU ! ». Je suis tout à fait sérieuse, tout le monde réagit comme ça. En même temps, il est difficile de rester insensible à cette beauté presque irréelle. Warren possède une peau pâle, sans défauts, sans petites imperfections, et d’une douceur incroyable, au point que beaucoup de filles cherchent un prétexte pour pouvoir toucher sa peau. Alors essayez d’imaginer ce qu’une petite amie pourrait ressentir, hein ? Je vous assure que c’est un pur régal. Maintenant, passons aux cheveux. Tout aussi agréables à caresser que sa peau et son torse divinement sculpté. Ils sont noirs, un peu rebelles, et toujours assez longs pour que certaines mèches viennent gêner sa vision, ça lui donne un air sexy supplémentaire. Ils sont magnifiques, bon sang, comment est-ce possible d’être aussi parfait ? Et ses yeux, mon dieu. Ils sont d’une parfaite couleur bleu océan, qui vous attire, attire irrésistiblement. En contemplant cet homme, il arrive très souvent de se perdre dans ses yeux sans savoir comment s’en détacher et de le contempler pendant une éternité sans s’en rendre compte… Evitez de baver, il n’appréciera pas trop et vous prendra pour une cochonne. Son corps est mince, musclé, et il possède toutes les qualités pour pouvoir le qualifier de « sexy ». En tout cas, il est à la fois un magnet à femmes... mais aussi un magnet à hommes. (Ça, par contre, il refuse de l'admettre) | Caractère. Comment décrire Warren sans être vulgaire ? Et bien… disons qu’il est assez… énervant ? Bon je vais être honnête : quand il s’y met, c’est un vrai connard, pardonnez-moi mais je ne trouve pas d’autres mots. C’est une personne… particulière. Tout d’abord, il passe son temps à se vanter. Si jamais il vous dit lorsque vous le rencontrez pour la première fois « Bonjour, c’est la perfection incarnée qui se tient devant toi, mademoiselle », il ne faudra pas être surpris. Et il est sérieux en plus, il ne plaisante pas, il le pense vraiment ! Il sait qu’il est parfait physiquement, et ça, il aime que tout le monde le sache même s’il ne faut pas forcément être un génie pour le comprendre. C’est aussi quelqu’un d’extrêmement narcissique et assez égoïste, il se préoccupe principalement de lui-même. Les autres ? Il s’en fiche un peu, exception pour Cat, sa petite amie. Il porte énormément d’attention sur son physique, il ne tolérera aucune critique de votre part à ce sujet-là, parce qu’il sait qu’il est parfait, et il ne faut surtout pas contredire Monsieur-Je-Sais-Tout. Il est aussi mesquin, manipulateur, voire carrément méchant : s’il vous trouve ridicule, il ne se gênera pas pour le dire en vous humiliant devant tout le monde. Pour le moment vous devez vous dire que vous avez vraiment affaire à un sale type… Je vais peut être essayer de lui trouver des qualités, à part sa perfection physique, naturellement… C’est quelqu’un de très courageux. Il est également très intelligent, et il pourrait briller s’il se concentrait un peu plus sur ses études. Ajoutons également qu’il déteste travailler et préfère faire le bordel en cours, et il collectionne les heures de colle. Ses professeurs ont en général envie de l’étriper et de le réduire en pièce à cause de son insolence. C’est aussi un grand dragueur, comme vous vous en doutez, et il n’hésite pas à draguer ouvertement. Mais bon, de toute manière, en général, la drague n’est pas forcément nécessaire, puisque certaines lui sautent dessus rien qu’en le voyant, alors… | Histoire Ah. Le jour maudit du 6 février 2000. Pourquoi diable a-t-il fallu que cet événement arrive ? Pourquoi Warren naquit en cette journée froide et lugubre ? C’aurait été peut-être mieux si ce n’était jamais arrivé et qu’il ne vienne pas au monde. Oh, vous devez vous dire que je fais preuve d’une grande cruauté. Non, je rectifie : il aurait été mieux pour lui qu’il naisse auprès d’une autre famille. Qui ne serait pas aussi cruelle que celle qui lui a été destinée. Loin de Zamias, cet horrible pays qu’il maudira à jamais par la suite. Et loin de sa ô maudite sœur, Demetria. Ah oui, en parlant de cette fameuse Demetria. Elle naquit en même temps que lui. Oui, en gros c’est sa jumelle, son autre moitié, bref, tout c’que vous voulez. Mais Warren refusait de la considérer comme telle. Elle avait ruiné sa vie, bien que ce ne soit pas de sa faute. Warren avait tort de l’accuser d’avoir gâché toute son enfance, car elle l’avait, au contraire, remplie de quelques rares moments de bonheur et de joie. Enfin, je m’égare.
On ne peut pas dire que l’enfance de Warren était joyeuse, bien au contraire. C’est sûr que d’être continuellement rejeté, incompris, insulté et battu par ses parents n’était pas forcément agréable à vivre au quotidien. En général, quelqu’un aimé par ceux qui l’ont mis au monde deviendra une personne très correcte puisqu’elle a reçu une bonne éducation. Mais Warren, lui, n’était pas aimé pour une raison qu’il ignorait, il était même détesté, voir haï. Dès son plus jeune âge, il devint un vrai souffre-douleur, une sorte de punching ball que ses parents, en particulier sa mère, cognaient, frappaient et brutalisaient juste pour s’amuser et pour tuer le temps. Oh, oui, ils étaient cruels. En particulier Mme Cierra Blake, la mère des deux enfants. Oui, j’ai bien dit des deux enfants. Puisque Warren était maltraité en permanence, cela paraît assez logique (malheureusement) que Demetria, sa jumelle, subisse le même sort que lui. Mais, étonnement, il se trouve que c’était le contraire. Il faut croire que Mme Blake était complètement sexiste. Car elle aimait sa fille. Oh mais qu’est-ce qu’elle l’aimait. Elle l’adorait, la chérissait, c’était sa Demetria à elle. Et à côté d’elle, il y avait ce déchet de Warren. Qui ne servait à absolument rien à part rendre honte à la famille. Elle disait déjà ce genre de choses alors qu’il n’avait que 6 ans et n’avait donc aucun sens de discernement. Il faut croire que quelque chose ne tournait pas vraiment rond dans sa tête. C’était un vrai monstre avec Warren ; et la meilleure des mères avec Demetria. Au début, Warren pensait juste qu’il se faisait frapper parce qu’il le méritait et qu’il était méchant, alors que Demetria était gentille. Dans sa jeunesse et sa naïveté, il pensait qu’elle était tout à fait innocente alors que lui était coupable. Et il se faisait battre. Une fois, quand Warren jouait avec Demetria en la poursuivant dans le jardin avec sa poupée dans la main, elle glissa malencontreusement sur la boue et tomba à terre, en s’écorchant les genoux et en cassant sa poupée. Triste en voyant l’état de sa poupée, Demetria se mit à pleurer. Warren tentait tant bien que mal de la consoler, en espérant qu’elle cesse de pleurer, sinon, il risquait de se faire accuser et battre à nouveau. Mais c’était trop tard, car Mme Blake entendit les pleurs de sa fille chérie, et accourut paniquée dans le jardin. Et quand elle vit sa pauvre Demetria à terre dans la boue, avec sa poupée cassée sur le sol, et Warren juste à côté d’elle, elle ne chercha même pas à comprendre, et emmena Warren dans sa chambre avant de le battre à nouveau. Demetria ne put rien faire pour défendre son frère, et s’en voulut.
Alors que Demetria était dans son lit le soir en songeant à sa poupée cassée et à son frère puni, la porte de sa chambre s’ouvrit et débarqua alors son frère en chair et en os. Bien qu’il soit rouge au niveau des joues à cause des gifles, il avait l’air de tenir le coup, et Demetria fut rassurée. Etrangement, il tenait ses mains derrière son dos, comme s’il lui cachait quelque chose.
« J’ai une surprise pour toi. » dit-il.
Il montra alors la poupée de Demetria, entièrement réparée. Ce n’était pas une œuvre d’art, on voyait nettement les fentes et la colle qui dépassait, mais la jeune fille s’en moquait, tout ce qui importait était que c’était son frère qui avait réparé la poupée. Demetria le prit dans ses bras, et ils passèrent la nuit ensemble.
A cette époque là, il l’aimait, sa Demetria. Mais ses sentiments furent changés au cours du temps, et au bout d’un moment, tout amour pour elle avait disparu.
Sa vie bascula lorsqu’il avait 13 ans.
« BAM ! Le bruit de l’énorme gifle que Mme Blake infligea à son fils avait dû s’entendre dans toutes les maisons aux alentours tellement il était fort, suivi du cri de douleur du jeune garçon. Nous sommes à Zamias, réputée pour son obscurité permanente. Un pays sombre et lugubre, tout autant que ses habitants, peu recommandables si vous recherchez des personnes agréables et chaleureuses. La famille la moins agréable de toutes devait sans doute être la famille des Blake, ou du moins en ce qui concernait les parents. Les deux enfants jumeaux, eux, étaient assez agréables. Ah non, rectification : seule la jumelle l’était, car le jumeau, lui, malaimé de ses parents finit par devenir une personne sombre, malheureuse et assez violente. On le comprend, le pauvre. Dire qu’avant, ce n’était qu’un pauvre enfant sans défense gentil avec tout le monde, et en particulier avec sa sœur jumelle. Mais ce n’était plus le cas. Il avait changé, et pas qu’un peu. Avant, il avait peur de tenir tête à sa mère, Cierra. Maintenant, il se fichait complètement de ce qu’elle pouvait lui faire. Mais ça lui faisait toujours mal sur le coup, surtout qu’il ne méritait pas d’être traité comme tel. Après avoir mis une gifle tellement douloureuse à son fils qu’il en était presque en larmes tant sa joue était devenue rouge et enflée, Mme Blake lui tourna le dos mais Warren protesta.
« C’était pour quoi ça ?! Qu’est-ce que j’ai encore fait, merde ?! Tu me frappes tout le temps sans raison alors que la plupart du temps, je n’ai absolument rien fait ! Et pourquoi quand Demetria fait une connerie, elle a rien, elle ?! »
Mme Blake, énervée, se retourna pour coller une autre gifle mais Warren eut le temps de l’esquiver. Renonçant, elle baissa la main, et regarda son fils. Ses yeux noirs, froids et semblables à un puit sans fin trahissaient toute la haine qu’elle éprouvait pour Warren. Ce regard était effrayant, on pouvait y distinguer la mort. Selon elle, son fils méritait la mort. Elle lui dit avec mépris :
« Tu n’es vraiment qu’un pauvre insolent… Comment peut-on être aussi indifférent envers tout ce que moi et ton père faisons pour toi ? Nous sommes toujours gentils et nous faisons tout ce que tu veux pour toi, et c’est comme cela que tu nous remercies ! - C’est ça, bien sûr, j’te crois, rit le garçon ironiquement. L’autre jour, tu te souviens ? Notre anniversaire, ça t’dit quelque chose ? Ah non, quel idiot je fais ! C’était SON anniversaire et pas le mien, bien sûr ! COMME D’HABITUDE, elle est pourrie gâtée alors que moi, je suis traité comme de la merde ! » rugit t-il brusquement.
La seconde gifle arriva sans que Warren ait le temps de la voir venir. Cette fois-ci, les larmes coulèrent. Ses larmes contenaient toute sa douleur : celle de la gifle. Celle de son malheur. Celle d’être malaimé, voire maltraité par ses parents. Celle d’être jaloux de sa sœur jumelle…
« DANS TA CHAMBRE ! Tout de suite ! Je ne veux plus jamais te revoir, misérable ! rugit Mme Blake. -OK, AUCUN PROBLEME ! J’me casse d’ici, salut, et au déplaisir de te revoir, pauvre garce ! »
Warren sortit alors dans le jardin en prenant bien le soin de claquer la porte d’entrée tellement brusquement que la maison sembla trembler légèrement ! En quelques mois, le garçon avait radicalement changé. C’en était troublant. Il était bien plus fort, d’une force énorme, et il n’avait plus cette bouille heureuse et rieuse qu’il avait durant ses jeunes années avec sa sœur, mais désormais un air plutôt sombre et effrayant. Il était devenu dur, insensible et violent. Et dans l’état de rage qu’il était à ce moment-là, il aurait été capable de tuer quelqu’un ou de faire des blessés. Ce qui ne tarda pas à arriver, quand il vit.. Demetria. Demetria. L’heureuse jeune fille choyée et aimée. Qui ne se faisait jamais réprimander, ô grand jamais. Qui ne se faisait pas gifler, ô grand jamais. Leurs conditions de vie étaient bien différentes bien qu’ils vivent sous le même toit. La différence majeure était que Demetria vivait dans l’amour, alors que Warren vivait dans la haine, ce qui finit par fortement l’influencer. Une réaction tout à fait normale. Warren serra les poings. Demetria le regarda, intriguée. Oui, car même si Warren la détestait, Demetria, elle, avait un grand amour pour son frère.
« Qu’est-ce qui se passe, Warren ? - Rien. Va jouer avec tes barbies et fous moi la paix, d’accord ? - Arrête de me prendre pour une idiote ! J’essaye de t’aider, en ce moment je ne te reconnais plus ! »
Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. La fureur bouillonnait dans ses veines, et là, il craqua.
« JE N’AI PAS BESOIN D’AIDE ! Je suis seul, et je l’ai toujours été ! PERSONNE NE PEUX M’AIDER, et certainement pas toi, pauvre débile ! »
Et c’est alors qu’il la plaqua violemment contre le mur de toutes ses forces. Le plus grand regret de sa vie sans doute. Surtout quand il vit le filet de sang qui se mit à couler de son crâne. Horrifié, il regarda sa sœur dans ses yeux. Ses yeux bleu azur. Il ne l’avait jamais remarqué, mais ses yeux étaient magnifiques. Sans le savoir vraiment, ce serait peut être le dernier souvenir qu’il aurait d’elle. La vision de ses yeux bleus, avant que ceux-ci ne se ferment.
Demetria sombra dans l’inconscience. »
Après ça, c’en était fini de son horrible vie sur Zamias. Ses parents le placèrent immédiatement dans un internat. Mais Warren détestait cet endroit, alors il s’enfuit. Il avait entendu des rumeurs à propos du plus grand pays d'Isis : Lumes. Apparemment, c’était une planète très agréable, le contraire même de son pays sombre et lugubre. Il embarqua en douce dans un vaisseau partant pour ce pays paradisiaque. Direction Lumes !
Il comptait vivre en liberté dans le monde d’Isis mais malheureusement pour lui, des agents de police le poursuivirent et il fut de nouveau placé dans un internat. Dans cet internat encore pire que le précédent, il finit par complètement déraper, sombrant dans l’alcool et la drogue. Il se mit à collectionner les relations avec les filles, mais il n’éprouvait absolument rien pour ces filles tombées sous son charme. Pour lui, c’était juste un pur passetemps, rien de plus. Et bon sang qu’est-ce qu’il s’amusait ! Mais au bout d’un moment, il finissait toujours par en avoir marre et il abandonnait la pauvre jeune fille qui s’est faite avoir par ce démon de Warren.
Finalement, à l'âge de dix-sept ans, il put enfin sortir de cet orphelinat misérable. Ayant découvert à seize ans qu'il avait le pouvoir de contrôler les autres par la pensée, Warren se demandait ce qu'il allait bien pouvoir faire. Il n'arrivait absolument pas à maîtriser ce don, et il s'était rendu compte qu'il commençaiit à avoir des maux de têtes quand il s'en servait. De plus, Warren se rendait compte qu'il allait mal, qu'il ne pouvait pas continuer à vivre ainsi dans la haine perpétuelle.
Ainsi, il entendit parler d'Ellour.
Et il se dit : après tout, pourquoi pas ? En plus, ce serait amusant de pouvoir plier les autres à sa volonté sans même bouger le petit doigt. C'est pour cela qu'il décida d'intégrer Ellour.
Petit à petit, Warren commença à changer un peu. Il était moins violent qu'avant, plus amical. Il conservait toujours son côté cynique et son humour noir, ainsi que sa tendance à changer de petite amie toutes les deux jours, et bien sûr, c'était loin d'être la personne la plus sympathique au monde mais... il était déjà plus facile à vivre.
A présent, Warren est en quatrième année à Ellour, et finalement, il ne regrette pas son choix. Ellour l'avait transformé. Et en plus, y'a plein de filles ultra canon ! Codage by Natu de Cocktail Graph'. |
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