Daraen Hiraku

   En deux mille trois dans une maison simple et calme, un mère coucher défigure son enfant, un enfant si petit, si mignon qu'elle ne cesse de pleurer, puis un homme arrive pour embrasser la femme et faire rire cet enfant. La femme était toujours avec l'enfant, mais celui-ci n'accrochait aucun souris à cette mère chaque fois que l'homme rentrait, il commençait a sourire et rigoler...
Les années passèrent est l'enfant grandi, du haut de ses trois ans, il ne fit rien, il regardait sa mère faire le ménage, et qui essayais de jouer avec, mais celui-ci partait, il ne semblait pas intéressé par cette partie lumineuse et préférait le coter sombre qu'avait son père. Durant sa journée, l'enfant ne cessait de manger quand il le fallait ou de dormir aucune trace de joie lui parvenais. Un jour, son père rentra avec un cadeau spécial, c'était un grimoire l'enfant qui était ager de 9 ans commença à lire et à récité quelque parole à voix haute et vis apparaître de petite explosion, un sourire si content se dressa sur son visage et il sauta dans les bras de son père.

Puis un soir l'homme ne rentrait pas... La femme désespérée sortie voir si elle apercevait son mari... Elle l’appela désespérément, mais aucun son lui parvenais, elle fondu en larmes, l'enfant s'aventura un peu plus loin et vis un homme allongée à terre gravement blesser la mère viens chercher l'homme pour le soignée mais rien, il perdu la vie malgré les soins qu'il avais eux.
Depuis le temps passa ma mère, m'interdisait tout. J'avais dix ans. J'adorais jouer dehors auparavant maintenant, j’étais enfermé interdiction de sortir de là ou j’étais, comme emprisonnée dans une cache jusqu'à un âge où je pouvais dégerpire de chez elle. C'était comme l'enfer un endroit ou tout est interdit tous les jours qui passèrent, je ne souriais plus, j’étais dans ma chambre seul à pleurer, c'était répétitif. Un jour, je cherchai mon grimoire pour lire les quelques pages restantes, mais j'avais beau la cherche, il n'était plus à sa place, le soir même ma mère me l'offrit, puis un regard de haine s’inscrit sur mon visage, puis une phrase avec toute sorte d'insulte en sortie, la femme énervée se dirigea vers le téléphone et appela une personne, qui vient me chercher... Ma mère venait de me laisser à une personne plus gentille qu'elle. C'était une dame avec des cheveux longs de couleur gris cassée, elle semblait assez vielle et semblais être adorable avec les enfants, elle m’apprenait toute sorte de chose, ce qu'était la musique, les jeux de société tout ce que ma mère me fessait évité, j'étais heureux d'être avec une personne qui semblait m'apprécier. Tous les jours, j’apprenais des choses, c’était comme-ci j''avais toujours vécu ici, j'adorais surtout utiliser des sorts grâce à mon grimoire. Depuis que ma mère l'avait utilisé, j'avais l'impression qu'il était plus lourd, mais le nombre de pages n'avaient pourtant pas changé.

Quand approcha le jour de mes 14 ans, j'avais appris à faire voler le grimoire à côté de moi pendant seulement 5 minute, et j'adorais regarder le ciel quand le soleil se levait ou quand il laissait sa place à la lune, j'avais pour la première fois pris un chevet avec une toile et de la peinture et j'avais représenté un soleil qui combattais la lune. Depuis j'avais opté pour lire des contes qui parlaient plutôt de chose intéressante. Puis quand l'envie m'y venait, je prenais mon grimoire et je feuilletais encore et encore ce livre pour comprendre des sorts que je n'arrivais pas à déchiffrer. Un moment que je dessinait j’aperçus la femme qui me gardait partir... Les minutes que je comptais étaient longues, très longues... Que je me perdu dans le monde des songes, ou tout m'était magnifique, je me réveillai en sursaut en voyant la femme avec un gros paquet qu'elle me tendit et j’aperçus une affectation pour une école de magie populaire sans comprendre, je sautai sur la femme et j’exprimai un des sourires les plus beaux qu'elle avait eu le droit d’apercevoir. Je n'avais pas encore l'âge d'y aller après tout, j'avais que 14 ans... Deux ans passèrent et je commençais as être plus qu'impatient, j'étais plongée dans mon grimoire tous les heurs, chaque minute qui passait, j’étais sans cesse dans les textes de magies essayant d'en apprendre d'avantage. Puis le jour que j'attendais approchait, j'avais une valise, une tenue que j'adorais et surtout mon grimoire, je me précipitai alors dans une sorte de navette pour aller rejoindre cet endroit tant réputé.