Sujet: Tallula Sinead Light // Je peux entrer dans ta tête et te faire voir des pires terreurs. Mais t'inquiète, j'mords pas ! Dim 9 Aoû 2015 - 23:19
LIGHT Tallula Sinead
Âge : 17 ans Année d'études : : Première année Pays d'origine : Phyre Pouvoir magique (consulter la liste des pouvoirs pris) : La matérialisation de cauchemars Somme d'argent que tu emportes avec toi (max 700$) : ... Matière que tu enseignes si tu es prof : ...
Tallula Light naquit un dix-sept janvier très froid. Cet hiver glacial marqua le début de la vie d'une future magicienne au sein de Phyre, le pays du feu, endroit préféré des pyromanes en tout genre. Entourée en permanence de personnes aimantes et de la chaleur du cocon familial, on peut dire que Tallula connut une enfance très paisible et pleine de joie. Trois ans après sa naissance, sa famille accueillit une nouvelle petite tête : Cheyenne Light, sa petite sœur. Pas forcément enchantée en premier temps de la présence de ce qu'elle considérait alors comme une intruse, il ne lui fallut que très peu de temps pour s'attacher à Cheyenne et en grandissant, les deux sœurs devinrent presque inséparables malgré leurs disputes régulières.
Étant donné qu'elle vivait au beau milieu du pays du feu et dans une famille de magiciens, Sinead avait toujours été bercée par la manipulation magique des flammes et celle-ci avait toujours eu une place importante au sein de sa vie quotidienne. Fascinée par cette dernière depuis qu'elle était haute comme trois pommes, la curiosité de Tallula la poussa à apprendre tout ce qu'elle pouvait sur la magie du feu. Elle fit rapidement la connaissance des plus grands magiciens manipulateurs de feu. Passionnée par l'univers de la magie, Tallula se fit la promesse d'apprendre à se servir de la magie de feu afin de devenir une magicienne aussi puissante que sa mère. Cependant, sa mère était la seule de la famille à maîtriser la magie du feu et celle-ci était régulièrement en voyage, impossible donc pour elle de lui enseigner sa magie. Elle décida donc de creuser d'autres pistes et d'apprendre la matérialisation des flammes par elle-même. Âgée de 9 ans, la rouquine passait l'essentiel de son temps dans ce qu'elle surnommait la caverne d'Ali-baba : c'est-à-dire la gigantesque bibliothèque de la capitale de Phyre, plus précisément dans le rayon des grimoires et des enchantements.
Elle passa des heures et des heures à lire, se renseigner, suivre les aventures d'autres mages pyromanes à travers les récits, mais malgré tous ses efforts, impossible pour elle de mettre en pratique ce qui était enseigné dans les livres. Elle avait beau essayer, aucune flamme ne jaillissait de ses mains, à son plus grand désespoir. Mais elle persista grâce à sa détermination, et ce pendant deux bonnes années, jusqu'à ses onze ans. Malheureusement, elle ne faisait aucun progrès, et elle commençait à se demander si elle allait un jour être capable de faire apparaître ne serait-ce qu'une minuscule braise.
Heureusement pour elle, Tallula pouvait compter sur le support de sa petite sœur, alors âgée de neuf ans. Même si Tallula passait clairement l'essentiel de son temps à taquiner sa sœur et à tout faire pour la mettre sur les nerfs, Tallula et elle étaient reliées par un lien fraternel très fort, et pas question pour la petite dernière de laisser son aînée baisser les bras comme ça ! La petite sœur de Tallula avait beau ne pas du tout s'intéresser à la magie contrairement à la rouquine, elle lui donnait souvent un coup de main, relisant les passages qu'elle ne comprenait pas trop, lui proposant même parfois d'être son cobaye (une tâche non sans risques considérant la maladresse incroyable de Tallula).
Jusqu'à ses treize ans, les journées de Tallula se déroulaient toujours de la même manière. La semaine, elle allait à l'école le matin et finissait vers seize heures, se rendait immédiatement à la bibliothèque parfois accompagnée de Cheyenne, lisait et s'exerçait pendant deux heures, puis elle rentrait chez elle, faisait ses devoirs, mangeait, discutait avec ses parents, et allait se coucher. Sa vie avait beau être rythmée et répétitive, Tallula s'amusait et croquait cette dernière à pleines dents.
Cependant, un événement vint marquer sa vie, gravant à jamais un souvenir ignoble dans sa mémoire. Un dix-huit octobre, alors que Tallula avait quatorze ans, on retrouva le corps sans vie de Cheyenne Ashlinn Light, décédée à l'âge de douze ans.
Selon les enquêteurs, celle-ci avait été agressée alors qu'elle rentrait de l'école, entraînée dans une ruelle à l'abri des regards puis avait été sauvagement assassinée. Aucun indice n'avait été laissé en évidence sur la scène de crime, et on ignorait qui avait bien pu commettre ce crime ignoble, ni pourquoi cette personne avait décidé d'ôter la vie à une enfant innocente.
Tallula se souviendrait toujours du moment où sa mère avait prononcé ces quelques mots, les yeux rouges et bouffis, les traits affaissés de son visage montrant un désespoir innommable, le cœur ayant subi une déchirure d'une douleur inimaginable :
« Tallula, ma chérie. C-Cheyenne... a été agressée en revenant de l'école... Elle est morte. »
Elle se souviendrait toujours de la façon dont laquelle son cœur s'était resserré, du poids qui s'était abattu sur sa tête, de la boule de chagrin qui s'était emparée de sa gorge, la douleur provoquée par la tristesse qui dévorait ses entrailles, qui la consumait toute entière comme si l'avait accrochée à un bûcher avant d'y mettre le feu.
Au cours des premiers mois qui suivirent la mort de Cheyenne, Tallula n'arrivait tout simplement pas à croire que celle-ci était partie pour de bon. Elle tournait régulièrement la tête vers la chambre de sa sœur en rentrant chez elle le soir, étonnée de ne pas l'entendre chanter à tue-tête le nouveau tube de son groupe préféré, avant de se souvenir qu'elle n'était plus de ce monde. A chaque fois qu'elle déposait quatre assiettes sur la table le soir au lieu de trois, son cœur se resserrait. Et il se fracassait en morceaux quand elle remettait l'assiette en trop à sa place dans la cuisine.
Parfois, quand elle était toute seule chez elle, il lui arrivait de faire à manger pour elle et sa sœur. Elle mettait la table pour deux, mettait l'album favori de Cheyenne dans un lecteur, remplissait l'assiette inutilisée de viande fumante et de légumes croquants, avant de s'installer face à la chaise vide, de remplir sa propre assiette et de manger tout en discutant à sa sœur, en s'imaginant que celle-ci lui répondait grâce à son imagination sur-développée.
Finalement, un an après la mort de Cheyenne, elle avait fini par tourner la page. Elle n'oubliait pas sa sœur, bien sûr, et son cœur était toujours brisé. Cependant, elle faisait de son mieux pour recoller petit à petit les morceaux, s'efforçait de sourire à nouveau, de goûter à nouveau à la joie de vivre, d'essayer à nouveau de maîtriser la magie de feu comme elle le faisait avant, de se passionner à nouveau pour un peu tout, de recommencer à suivre les magiciens pyromanes, bref, en quelques mots, elle renaissait, se reconstruisait, recollait les fractures de son cœur. Et si elle se permettait de revivre, c'était bien parce qu'elle savait que sa sœur ne voudrait certainement pas qu'elle devienne morose à cause de sa mort. Ainsi, Tallula retrouva sa gaieté habituelle, et à quinze ans et demi, rares étaient les personnes qui auraient pu déceler ce traumatisme enterré au fond d'elle-même.
Au cours des deux années qui suivirent, Tallula se rapporcha énormément de son père. Un jour, elle lui parla de son rêve : apprendre à se servir de magie de feu pour être comme sa mère. Elle lui dit aussi que cela faisait des années qu'elle essayait, en vain. Son père la dévisagea pendant quelques instants avant de répondre :
« Tu sais, ma chérie, si tu n'y arrives, c'est peut-être parce que la magie de feu ne te correspond pas. La magie ne s'apprend pas par les livres, ni même par l'enseignement de quelqu'un. C'est en toi que tu dois la trouver, cette magie. Un jour, la magie en toi finira par apparaître, il faut juste être patient et ne pas particulièrement chercher à la réveiller. Quand le moment sera venu, elle se révèlera. »
Tallula était restée pétrifiée pendant quelques instants, stupéfaite. Elle n'avait jamais considéré la magie sous cet angle de vue.
Suite à cela, Tallula cessa de s'exercer à la magie de feu, préférant laisser faire la nature des choses, comme l'avait recommandé son père. A partir de quelques temps, Tallula se rendit compte qu'elle faisait de plus en plus de cauchemars la nuit, alors qu'auparavant elle n'en faisait jamais. Elle supposa que c'était à cause du traumatisme qu'elle avait vécu, et n'y prêta pas attention. Pourtant, le nombre de cauchemars qu'elle avait par nuit augmentait de plus en plus. Et dans chacun de ces cauchemars, elle voyait sa soeur mourir juste devant ses yeux. Et de plus en plus régulièrement.
Finalement, n'y tenant plus, elle décida d'aller voir un psychologue, car elle faisait presque des cauchemars toutes les nuits et si c'était vraiment suite à son traumatisme, il fallait intervenir.
Après l'avoir observée, le psychologue lui annonça qu'il ne s'agissait pas des suites de son traumastisme, mais de sa magie qui se révélait. Son père avait eu raison. Sa magie avait débarqué dans sa vie sans même qu'elle ne s'en rende compte.
Ainsi, Tallula découvrit qu'elle avait le pouvoir de matérialiser des cauchemars à volonté et faire voir aux gens des illusions représentant leurs pires terreurs.
Pas forcément le pouvoir idyllique qu'elle s'était imaginé mais bon.
Cependant, comme elle n'arrivait pas à le contrôler, son pouvoir prenait forme en s'infiltrant dans ses propres rêves : son pouvoir matérialisait sa pire terreur dans sa tête pour montrer qu'il existait, et qu'il était temps d'apprendre à le contrôler.
C'est pour ça qu'à dix-sept ans, Tallula se présenta à la porte d'entrée d'Ellour, prête à devenir une magicienne et à commencer à contrôler ses pouvoirs. Et maintenant, il ne lui reste plus qu'à tracer son chemin dans cette grande académie qui l'attendait. Son principal regret, dans tout cela, est de ne jamais avoir réussi à découvrir l'identité de la personne qui avait assassiné sa sœur. Désormais, il ne lui reste presque aucun espoir de découvrir l'auteur du crime...
Prénom : Juliette mais tout le monde m'appelle Nono Âge : 16 ans Un peu plus sur toi : Je suis une fille un peu fofolle sur les bords, je suis perverse et je l'assume, je suis passionnée par la fabrication des sushis et celle des cupcakes volants (c'est un sujet très important vous voyez), j'idolâtre Jellal Fernandes et youporn, je suis yaoiste dans l'âme, je suis une grande fan de Naruto, Death Note, Fairy Tail & SnK, et pour conclure, je mesure un mètre cinquante et j'en ai marre d'être petite sérieux. Ajoutons également que j'ai 16 ans. Voilà voilà. Flippez pas hein. Je suis normale à part ça. Code du règlement : J'ai écrit le règlement xD
Fiche de présentation
Light, Tallula, Sinead.
Informations générales. Âge: Dix-sept ans Année d'études: Première année Date de naissance: Dix-sept janvier Pays d'origine: Phyre, pays du feu Pouvoir magique: Création de cauchemars. Ton job si t'en as un: Aucun pour le moment, mais si elle peut s'en trouver un rapidement, elle ne serait pas contre. Somme d'argent que tu emmènes avec toi: 500 euros. Matière que tu enseignes si tu es prof: /
Un peu sur toi Ton prénom: Noémie/Nono Décris-toi en quelques lignes, on veut tout savoir sur toi ! 8D : Où as-tu découvert le forum ? No, really? Code de validation : Bloup, Bloup, La reine came l'a manger ♥
Physique et caractère
Physique. Quand on voit Tallula pour la première fois, la première chose qu'on remarque, c'est son sourire. Elle a un très beau sourire, et il est très rare de l'apercevoir avec une mine triste, en colère ou boudeuse. Son optimisme lui donne un air joyeux en permanence, tout chez elle dégage une impression chaleureuse et de bonheur complet. Ses sourires sont tout à fait francs, il n'est ni narquoise, ni séductrice dans l'âme (ou du moins, séduire les autres n'est pas son objectif premier). C'est quelque chose qui est très apprécié chez elle, et c'est peut-être son sourire honnête qui lui donne son côté charmant et agréable à vivre. Ses bonnes intentions et sa sincérité sont souvent ressenties dans son attitude, elle dit ce qu'elle pense et ne cherche pas à vous embobiner dans on ne sait quel plan tordu. De ce fait, beaucoup de personnes lui font confiance. Sa démarche est confiante sans être arrogante pour autant; et on peut toujours distinguer la franchise de ce qu'elle dit dans ses yeux car ils sont toujours lumineux (elle a découvert que ses yeux avaient tendance à s'assombrir quand elle mentait). Tout chez elle montre qu'elle aime être entourée et que c'est une personne bavarde, ouverte malgré son impulsivité qui prend le dessus de temps à autre. En gros, si t'as pas d'amis, au lieu de prendre un curly, viens parler à Tallula, elle t'accueillera à bras ouverts. Du moment que tu ne sois pas hypocrite. Tallu' hait les hypocrites.
Cette jeune rouquine de dix-sept ans possède de beaux yeux orangés, toujours pétillant d'une joie de vivre contagieuse (en effet, un bon nombre de ses proches ont remarqué qu'ils souriaient beaucoup plus souvent depuis qu'ils la connaissait). Ceux-ci sont grands, ce qui représente bien sa curiosité toujours à l'affût d'une information ou deux. Elle est fine, a des hanches développées, des fesses rebondies, mais sa poitrine n'est pas de taille énorme (elle est normale, quoi, et c'est loin de lui déplaire, Tallula n'est pas particulièrement fan des bonnets taille Y). Elle a la peau plutôt pâle mais elle se teint d'une jolie couleur cuivrée quand elle s'expose au soleil en été.
Elle aime beaucoup insérer un diadème en forme de fleur dans ses cheveux. Quand elle n'est pas vêtue d'un uniforme, Tallula aime s'habiller de façon plutôt simple. Sa tenue préférée est un t-shirt noir avec un jean déchiré ou délavé. Elle n'aime pas tout ce qui est trop compliqué à mettre ou les tenues plus sophistiquées : elle préfère la simplicité, la praticité, le confort, et la tenue basique du tee-shirt + pantalon lui va très bien. Cela ne signifie pas qu'elle ne soigne pas son apparence, elle cherche tout de même à être présentable, mais elle n'est pas non plus obsédée par son style vestimentaire. Elle ne commencera pas à prévoir ce qu'elle va mettre deux heures en avance, elle prend plutôt le premier truc qui lui tombe sous la main, le met, et si sa tenue est correcte elle la garde.
L'une des caractéristiques principales de Tallula est le charme fou qu'elle a. Elle ne sait pas trop d'où celui-ci provient, mais elle a un petit quelque chose qui la distingue des autres. Il s'agit peut-être de son sourire éclatant. En tout cas, c'est une belle adolescente, mais elle ne préfère pas s'en vanter. Après tout, elle n'apprécie pas l'arrogance.
Caractère. Tallula Sinead. Dès même les premières secondes suivant sa naissance, on avait déjà attribué à ce jeune nouveau-né aux cheveux blonds une particularité dominante qui la suivrait toute sa vie : son prénom et son second prénoms pas très répandus. Son second prénom est issu de ses ancêtres, celui-ci peut à la fois signifier "beauté de Dieu" et "indulgente". En général, Tallula préfère ne pas tenir compte de la première signification car elle jugerait cela bien trop arrogant de sa part, et préférait plutôt répondre par la deuxième définition quand on lui demandait ce que son prénom voulait dire.
En effet, l'indulgence est un trait de caractère qui lui correspond bien. Même si le pardon est progressif, elle l'accordera toujours au bout d'un laps de temps en général plus court que la moyenne, peu importe si vous avez commis la pire des trahisons. Quand on lui présente une situation, elle a toujours tendance à trouver des circonstances atténuantes, des excuses, et si elle a affaire à une personne à qui les autres ne trouvent que des défauts, elle parviendra à mettre en avant les qualités de cette personne. Elle est la figure-même de l'indulgence. Sa mère avait à priori eu de l'instinct en la prénommant ainsi.
Tallula a toujours été une personne très sociable, aimant la communication, les relations humaines, et ce dès son enfance puisque la rouquine n'eut aucun problème à se lier facilement d'amitié avec les autres enfants de son école, même si son prénom était étrange et qu'il lui arrivait de grincer un peu des temps quand les professeurs l'écorchaient en tentant de le prononcer correctement. D'ailleurs, elle aimait le fait que son prénom la rendait différente des autres d'une certaine façon. Au moins, elle n'était pas Mademoiselle Tout-le-monde, puisqu'on ne croisait pas tous les jours quelqu'un avec son prénom. Elle était originale, unique. Enfin, son prénom, surtout.
En plus d'être une pipelette, Tallula est aussi extrêmement impulsive. En général, on la décrit comme quelqu'un qui "agit avant, et réfléchit après". Un gros défaut qui la pousse à dire des choses qu'il ne faudrait pas dire ou à agir de façon regrettable. Peut-être que sa propre impulsivité la pousse à être indulgente envers les autres : elle sait plus que n'importe qui que parfois, on fait des choses qu'on n'avait pas forcément l'intention de faire. Elle fait de son mieux pour essayer de corriger ce défaut, mais il y a encore du travail à faire. Malgré ses efforts, il lui arrive d'oublier de retourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler. Mais les proches de Tallula ont l'habitude de ce trait de caractère et s'offusquent rarement de ce qu'elle peut dire.
Ponctuelle, charmante, et ouverte d'esprit, Tallula n'a absolument aucun mal à se mettre des gens dans la poche et ce en déployant peu d'efforts. Son ouverture d'esprit et sa curiosité la pousse à se renseigner sur beaucoup de choses, ce qui fait que la rouquine est plutôt cultivée pour son âge, bien que son savoir n'est pas forcément toujours utile puisqu'elle a tendance à s'intéresser à des choses... étranges. Par exemple, elle saura vous donner des anecdotes que presque personne ne connait sur les volcans de son pays, mais elle ne pourra pas vous renseigner à propos de certaines dates historiques importantes de la guerre. Cependant, dès que son intérêt est piqué au vif par quelque chose, elle se renseigne toujours à ce sujet que ces informations lui soient utiles ou pas. Dans tous les cas, elle s'imagine que cela lui sera utile un jour. Ou du moins elle espère.
Tallula est également une personne gentille et bienveillante. Comme indiqué plus tôt, elle est impulsive et un peu trop directe par moments, mais on ne peut pas nier le fait que ses intentions sont tout sauf mauvaises. Elle ne veut aucun mal aux autres, et sa bienveillance la pousse souvent à s'inquiéter pour ses proches et à faire le maximum pour qu'ils soient le plus heureux possibles. Pacifique, elle n'aime pas prendre part aux conflits et encore moins en être la source, ce qui lui arrive malheureusement souvent à cause de cette fichue impulsivité ! A cause de sa gentillesse, elle a tendance à culpabiliser pour tout et n'importe quoi, que ce soit parce qu'elle a déçu quelqu'un, ou après avoir laissé son impulsivité prendre le dessus d'elle-même pendant quelques instants. Elle n'a pas une très haute estime d'elle-même, alors elle apprécie beaucoup les compliments et être rassurée par ses amis, cela l'aide à s'aimer un peu plus.
Pour remédier à son manque de confiance en elle, Tallula se dissimule souvent sous un masque d'autorité et prend occasionnellement la place de leader au sein de sa bande d'amis. Elle donne son avis pour tout et prend les initiatives par elle-même : les activités du week-end, les plans pour les prochaines vacances... Cependant, une fois seule, Tallula retrouve souvent sa facette plus fragile et se demande parfois si ses actions sont justifiées ou si elle ne fait que se mentir à elle-même en croyant qu'elle pourrait diriger les autres. D'ailleurs, elle est souvent jalouse des autres pour les qualités qu'ils ont. Elle aimerait avoir ce que les autres ont et qu'elle n'a pas. Cette jalousie ne s'applique que dans ce cas-là, ce n'est pas l'une de ces stupides adolescentes complètement obnubilées par un garçon qui montrent des dents à chaque fois qu'une fille s'approche ne serait-ce qu'un millimètre de lui. Tallula trouve d'ailleurs ces filles un peu pitoyables, et elle les plaint sincèrement du fond du cœur. Il doit être difficile de surveiller le garçon de ses rêves vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et elle trouve que cette tâche a l'air particulièrement fatigante.
On reproche souvent à Tallula d'être un peu lunatique par moments, surtout en cours ou avec sa famille. Il lui en faut peu pour se décrocher de la réalité et entrer dans un rêve éveillé, ce qui n'est pas forcément très agréable quand un professeur lui pose une question ou quand elle est en pleine réunion de famille. De ce fait, Tallula a une grande imagination, que ce soit pour écrire des histoires originales, pour dessiner quelque chose ou pour créer des jeux amusants. Sa créativité est souvent rapidement remarquée par les autres, et on lui dit que cela lui sera fortement utile pour le futur qu'elle avait prévu à la base (c'est-à-dire créer sa propre guilde, devenir le maître de cette guilde et la faire monter les échelons jusqu'à arriver à la première place du classement officiel des guildes, mais ce plan n'est plus d'actualité suite à son arrivée dans le Nouveau Monde).
Pour finir, Tallula est extrêmement maladroite, et on la caractérise souvent par le surnom "danger ambulant", car elle a tendance à casser tous les objets de valeur sur son chemin. On se demande comment elle fait. Il s'agit peut-être d'une sorte de don... ou plutôt de malédiction, pour le coup.