M. le directeur Administratrice toute puissante
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Feuille de personnage Informations :
| Sujet: [ADMIN] Catherine Jeanne Wallace, la magnifique directrice d'Alféa (a) ~ Ven 4 Juil 2014 - 18:07 | |
| WALLACE, CATHERINE, JEANNE Date de naissance ; 11 janvier 1976 Planète d’origine ; Magix
Pouvoir magique ;
Catherine est une illusionniste. Ses pouvoirs sont centrés sur le mental : ses attaques sont pour la plupart indirectes. Face à l'ennemi, c'est une adversaire redoutable : elle peut faire croire mentalement à l'ennemi que celui-ci est plongé au beau milieu d'un grand trou noir, ou tout simplement dans un incendie, ce qui le rend faible et Catherine n'a plus qu'à l'achever avec un sort d'attaque. Elle maîtrise également la télékinésie et la télépathie.
Matière enseignée ; Les duels, et les sortilèges.
Histoire ;
Catherine Jeanne Wallace naquit le 11 janvier 1979 sur Magix auprès d’une famille aisée. Fille de Faragonda Heartfilia, elle passa une enfance heureuse. Dès son plus jeune âge, Catherine se passionna pour la magie, et portait en elle le rêve de devenir une fée aussi puissante que sa mère. Faragonda l’emmenait régulièrement à la bibliothèque principale de Magix où elle dévorait des livres complets qui contaient des légendes à propos de la magie.
Et Catherine grandit, plongée dans cette ambiance centrée autour de la magie. Malheureusement, son père mourut d’un cancer du poumon inguérissable quand elle avait dix ans, et Catherine ainsi que sa mère eurent du mal à s’en remettre. A partir de là, tout devint plus difficile pour Catherine. Car ses pouvoirs se révélèrent pour la toute première fois, et ce fut loin d’être agréable pour elle.
En effet, le tout premier pouvoir qu’elle se découvrit fut la télépathie, c’est-à-dire le fait de pouvoir entendre les pensées des autres et pouvoir communiquer avec d’autres télépathes. Mais elle était encore trop jeune pour pouvoir maîtriser son pouvoir et se construire un bouclier pour la protéger des pensées extérieures : car ce pouvoir impliquait le fait d’entendre absolument toutes les pensées des autres personnes autour d’elle. Imaginez que vous vous trouviez dans une cour d’école avec plus de 200 élèves et que vous entendiez toutes les pensées de ces 200 personnes en même temps ? C’est pour cela que la télépathie n’est pas forcément un pouvoir très agréable, et c’était très loin de la magie idéale que s’imaginait Catherine.
Quand Faragonda se rendit compte du don particulier de sa fille, elle commença à effectuer certaines recherches afin de l’aider à trouver une solution. Elle découvrit alors qu’il était possible pour les télépathes de se construire un bouclier psychique pour bloquer le flux écrasant de pensées qu’elle pouvait entendre. Apparemment, il était possible de le retirer à tout moment, et il ne prenait que quelques secondes à mettre en place, alors Catherine apprit à construire cette protection sans trop de difficultés.
Catherine, qui s’était un peu renfermée sur elle-même à cause du décès de son père et la nouvelle magie qu’elle s’était découverte, recommença à s’ouvrir au monde et redevint la personne joyeuse qu’elle avait toujours été.
En attendant avec impatience d’avoir l’âge pour pouvoir aller faire ses études à Alféa, Catherine fréquenta quelques petites écoles de magie qui lui apprirent quelques sortilèges de base. Entre-temps, Catherine avait découvert qu’elle maîtrisait également la télékinésie, qui lui permettait de déplacer des objets à distance, ainsi que les illusions, qui étaient son pouvoir principal.
A 16 ans, elle entra enfin à Alféa, et fut accueillie dans le Dortoir Emeraude grâce à sa personnalité joyeuse et drôle. Ce fut une élève aux capacités remarquables, bien qu’elle passe énormément de son temps à faire des farces et à jouer des mauvais tours à des professeurs, voire à sécher les cours ! Ce qui n’était bien entendu pas très apprécié par sa mère qui ne manqua pas de la sermonner de nombreuses fois.
Mais alors qu’elle était en fin de troisième année, sa vie fut bouleversée. Car Valtor déclara la guerre aux écoles de magie.
Catherine se battit autant qu’elle put, continuant même à lancer des sortilèges malgré ses nombreuses blessures, pendant que sa mère se confrontait au sorcier ultime. Le nombre d’ennemis diminuait, les fées étaient proches de la victoire. Mais il restait Valtor. Et sa mère.
Catherine vit deux éclairs, une explosion, un cri. Son cœur se mit à battre la chamade. Et sa mère ainsi que Valtor étaient tous les deux vaincus sur le sol. Mourants. Catherine poussa un cri et se précipita en courant vers sa mère.
Cette dernière tourna lentement la tête vers elle, et la regarda dans les yeux, avant de marmonner :
« Catherine, je te cède ma place en tant que directrice. Prends soin de l’école, et apprends aux fées … comment se défendre… comment protéger leurs proches… comment devenir des accomplies… S’il te plaît, fais-le pour moi… Je sais que tu peux le faire… »
Les yeux de la personne qu’elle aimait le plus au monde se refermèrent doucement, ses lèvres s’entrouvrirent légèrement alors qu’elle expirait pour la toute dernière fois. Son corps se raidit, devint immobile, privé de vie. Comme une coquille vide. Il ne restait rien. Plus aucun battement de cet organe symbole de vie, plus aucune chaleur, plus aucune expression sur son visage.
« Non. »
Elle refusait d’y croire.
« Non. »
Ses yeux bleus d’ordinaire étincelants de gaieté se remplirent de larmes, avant que ces dernières ne perlent le long de ses joues. Un sanglot s’échappa de bouche. Puis un deuxième. Puis un troisième. Et elle ne parvenait plus à s’arrêter.
« Non. Ce n’est qu’un rêve. »
Elle ne pouvait pas être morte. C’était impossible. Pas elle. Elle ne pouvait pas mourir. Elle ne pouvait pas la quitter. Elle ne pouvait pas…
« Non… Non… NON ! »
De l’eau salée continuait de goutter sur son visage dans un flot continu, et ses sanglots se transformèrent en un long hurlement. Sa mère venait de décéder. Devant ses propres yeux. Son monde s’écroulait, son cœur se brisait en mille morceaux, des souvenirs d’elle et sa mère défilaient devant ses yeux rougis par les larmes… Bientôt, un autre sentiment se mêla à sa tristesse : de la colère. Une haine intense qu’elle n’avait jamais ressentie auparavant. Son corps tremblait, elle serra les poings, et rouvrit ses yeux qu’elle avait fermés afin de cacher la vue de sa mère morte allongée sur le sol. Une flamme d’animosité dansait dans ses yeux, et son visage était presque déformé par la rage. Elle rugit de colère, et se précipita vers les quelques ennemis qui restait.
« DANSE DES ILLUSIONS ! » s’exclama-t-elle.
Son sortilège le plus puissant. Ce sortilège pouvait rendre le plus hardi des hommes complètement fou. Il permettait de créer en une fraction de seconde des milliers d’illusions toutes aussi terrifiantes les unes que les autres. Plongés dans un monde imaginaire, ils finirent par tous se désintégrer. Catherine cligna des yeux. Elle avait vaincu les 50 ennemis qu’il restait. En un seul sortilège.
Elle se mit à trembler. Jamais elle ne s’était énervée comme ça. Jamais. Elle n’avait jamais voulu tuer quelqu’un. Elle se retourna, pour voir le regard impressionné des autres fées et magiciens posé sur elle. Et sa mère, allongée sur le sol, morte. *** Ils venaient de battre une armée de 500 monstres très puissants alors qu’ils n’étaient qu’une petite centaine. En temps normal, ils auraient sans doute fait la fête pendant quelques temps et ils ne parleraient que de leur exploit, mais l’heure n’était pas aux célébrations. Car la directrice Faragonda était décédée en sacrifiant sa vie pour vaincre Valtor. Sans elle, ils auraient sans doute perdu. Son enterrement eut lieu quelques jours après la tragédie. Ce ne fut que pleurs et lamentations. En effet, Faragonda était une personne très appréciée, que ce soit par ses proches ou ses élèves. Tous ses proches étaient montés sur une estrade pour faire un discours en l’honneur de la directrice d’Alféa, parlant de sa gentillesse, sa générosité, son courage, sa puissance… Quand ce fut au tour de Catherine de parler, elle parla de tout ce que sa mère avait fait pour elle, à quel point sa douleur était grande. A la fin de son discours, elle ajouta : « J’ai décidé… de respecter le dernier souhait de ma mère. A partir de maintenant… Je prends la relève en tant que directrice d’Alféa. »Et à partir de ce moment-là, Catherine devint la nouvelle directrice d’Alféa. La jeune fée qui venait à peine de terminer ses études en tant que Fée de Troisième année commença à diriger l’école à l’âge de 18 ans. C’était une excellente directrice. Egalement professeur de duels et de sortilèges, elle aidait les fées à devenir des fées accomplies. Une année après être devenue directrice, elle révolutionna le contexte de l’école en accueillant également les jeunes magiciens qui étaient de plus en plus nombreux. Désormais, Catherine a 35 ans, et est toujours directrice. Elle a épousé un homme du nom d’Arthur, et a une fille unique : Aliénor. Physique ; Catherine n'a pas vraiment le physique qu'on s'imagine d'une directrice : strict, les sourcils froncés, les yeux gris, le visage renfrogné, des rides jaillissant de partout, les cheveux courts d'un gris terne, et les lèvres pincées en signe de désapprobation. Non, elle n’était pas comme ça, et heureusement, d’ailleurs ! Ce qui faisait véritablement le charme de Catherine, c’était bien ses longs cheveux soyeux de couleur châtain, qui étaient ondulés et bouclés aux extrémités. Elle laisse souvent traîner deux mèches bouclées sur ses épaules. Elle en prenait grand soin, et pour rien au monde elle n'oublierait de les coiffer. Un autre élément qui la rendait jolie était ses beaux yeux d’un bleu éclatant. Quand on se plongeait dans ses yeux bleus de grande taille, on pouvait y distinguer de la chaleur et de la générosité. Son visage fin était de couleur porcelaine, et bien qu'elle se mettait parfois des heures au soleil, elle ne bronzait pas, à son plus grand désespoir. Même quand elle était petite, elle ne dorait jamais, et sa mère la rassurait souvent en disant qu’elle aussi ne bronzait jamais et que sa petite Catherine chérie était bien plus jolie avec une peau pâle. Mince, de petite taille (ce qui ne manquait pas de la contrarier !) et élégante, on pouvait affirmer que Catherine était une femme plutôt jolie. Caractère ;Catherine est une femme courageuse. Elle serait prête à se sacrifier pour sauver des milliers de vies et d’âmes innocentes. Elle est pacifiste. Elle veut la paix dans le monde. C'est d'ailleurs l'une de ses principales déterminations pour devenir directrice d'Alfea : en éduquant des jeunes fées et des magiciens, ils aideront tous à maintenir l'harmonie. Téméraire, elle se jette sans hésiter dans les batailles et est une ennemie redoutable à cause de sa volonté infaillible. Elle veut quelque chose ? Elle fera tout pour l'avoir. Ce doit être aussi l'une des femmes les plus douces et sympathiques au monde, un trait de caractère qu'elle obtient de sa mère, Mme Faragonda. En revanche, elle est têtue comme une mule, et une fois qu'elle s'est fixée sur quelque chose, il est dur pour elle de s'en détourner. Sa témérité lui porte parfois défaut, car elle a tendance à prendre trop de risques et à se blesser. Niveau de RPG ; Plutôt bon, même si cette présentation est un peu pourrie x) Où avez-vous découvert le forum ; Fonda. | |
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